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Il n'y a pas si longtemps, le lobby du sucre avait un pouvoir de nuisance non nul sur l'excitation humaine :
Avant qu'on ne fasse certaines expérimentations sur des souris qui ont mis en avant aux yeux du public la dangerosité du sucre...
Je vais prendre des gants en citant le Dr Gérard Apfeldorfer, psychiatre, qui précise :
"Toutefois, si l’addiction au sucre ou à d’autres aliments (food addiction) est un mythe, il n’en reste pas moins qu’un processus addictif est bel et bien à l’œuvre dans certaines frénésies consommatoires, qu’il s’agisse d’ailleurs de produits uniquement sucrés, ou gras et sucrés ou encore uniquement gras. Il s’agit là de ce qu’on appelle une addiction comportementale. Dans les addictions comportementales alimentaires (eating addictions), on répond à un mal-être, une souffrance, par une frénésie alimentaire. "
Donc oui, on comprend que le problème est plus lié à la tempérance et donc le comportement addictif de certaines personnes (comptez-moi parmi lesdits gens) qu'au produit lui-même ; mais on cite quand même un peu plus souvent les frénésies de sucre que d'ingestion de concombre.
(Numérobis - "Astérix Mission Cléopâtre" d'Alain Chabat)
LIENS de bas de billet :
"Throughout the 1960s and 1970s, Sugar Information Inc. Ran Ads to Educate People About the Dietary Benefits of Sugar"
"New Study Says Sugar Is Toxic—But These Old Ads Say Otherwise"
"Sweet and sour: Orwellian sugar ads of the 1960s"
"Le sucre : plus puissant que la cocaïne"



"Toutefois, si l’addiction au sucre ou à d’autres aliments (food addiction) est un mythe, il n’en reste pas moins qu’un processus addictif est bel et bien à l’œuvre dans certaines frénésies consommatoires, qu’il s’agisse d’ailleurs de produits uniquement sucrés, ou gras et sucrés ou encore uniquement gras. Il s’agit là de ce qu’on appelle une addiction comportementale. Dans les addictions comportementales alimentaires (eating addictions), on répond à un mal-être, une souffrance, par une frénésie alimentaire. "
Donc oui, on comprend que le problème est plus lié à la tempérance et donc le comportement addictif de certaines personnes (comptez-moi parmi lesdits gens) qu'au produit lui-même ; mais on cite quand même un peu plus souvent les frénésies de sucre que d'ingestion de concombre.

LIENS de bas de billet :
"Throughout the 1960s and 1970s, Sugar Information Inc. Ran Ads to Educate People About the Dietary Benefits of Sugar"
"New Study Says Sugar Is Toxic—But These Old Ads Say Otherwise"
"Sweet and sour: Orwellian sugar ads of the 1960s"
"Le sucre : plus puissant que la cocaïne"