Je ne vais quand même pas mourir pour avoir une cote, hey ho.
Note
: j'aurais dû chercher en ligne avant d'écrire mon texte, je découvre que je paraphrase ce photographe (clic). Internet n'est qu'un éternel recyclage...
Note 2 :
après contact avec Pierre-Elie de Pibrac, il s'avère que la phrase n'est pas non plus de lui.